Jeudi 04/07/2019
Voix
Orgue Hammond
Batterie
Guitare
Voix
Martha High & The Soul Cookers
La déesse de la Soul, 74 ans, complice de James Brown pendant plus de trente ans, traverse les décennies et collaboration avec succès et passion! Son coup de coeur pour Omar fut immédiat. Après avoir collaboré en studio, ils se retrouveront sur la scène du New Morning accompagnés par les Soul Cookers. L'occasion de retrouver Omar et Martha High sur des titres inédits en Duo!
= MARTHA HIGH AND THE SOUL COOKERS =
Une chanteuse dont la carrière fut tellement chargée en rencontres de haut vol qu'elle peut vous commencer une phrase en vous parlant de Bo Diddley et la finir avec George Clinton et James Brown en passant par Marvin Gaye.
Quand la chanteuse Martha High intégra l'orchestre de James Brown au milieu des années 60, elle n'imaginait sûrement pas que cette aventure durerait plus de 35 ans. Aux côtés du «Parrain de la Soul », la jeune femme découvrira la scène, les studios d'enregistrement, les tournées aux quatre coins de la planète et l'exigence d'un art populaire afro-américain, la Soul-Music !
Cet apprentissage en compagnie d'un artiste intransigeant, perfectionniste et profondément doué guidera les premiers pas de la demoiselle vers l'excellence. En sa qualité de choriste, Martha High eut l'opportunité d'observer avec minutie les prestations de son mentor, de participer à des événements historiques, d'accompagner les soubresauts de la lutte du peuple noir.
Le 5 avril 1968, 24h après l'assassinat de Martin Luther King, elle était à Boston sur scène avec «Mr Dynamite» qui tentait, tant bien que mal, d'apaiser les tensions raciales en appelant à la dignité de ses contemporains.
Le 24 septembre 1974, elle était également présente lors du festival «Rumble in the Jungle », dont James Brown était la tête d'affiche, organisé à Kinshasa en prélude au combat de boxe qui opposait Mohamed Ali et George Foreman. Pendant 3 décennies, Martha High a donc été témoin des grandes heures de «L'épopée des Musiques Noires». (Joe Farmer, RFI)
La diva n'a rien perdu de sa fraîcheur et de sa superbe, comme le prouve son premier extrait intitulé « Lovelight », résolument racé et si proche du Memphis Sound de l'illustre écurie Stax.
= OMAR =
Ce mélomane hors du commun (ayant collaboré sur son dernier album avec Stevie Wonder, Estelle, Common et Angie Stone !) au charisme exceptionnel vous fera voyager à coup sûr dans un univers où le groove réchauffe les corps et les coeurs. Il est indéniablement l'un des maîtres et précurseurs du mouvement new-soul, et soul-prophète en son pays, l'Angleterre.
Avec ses dreadlocks rasées sur les côtés, Omar est le père de la Néo-Soul anglaise. Chanteur, compositeur, producteur, il interpréta « There's Nothing Like This » dans les années 90, puis se retira pour toujours plus de créativité et de crédibilité. Avec Stevie Wonder comme père spirituel, son fan-club va de Gilles Peterson à Erykah Badu, en passant par Angie Stone et bien d'autres.
Ce chanteur à la voix d'or est la référence incontestée de la nu soul, qu'il a introduit en Europe. Un univers unique, hybride de soul, hip-hop, jazz et de sons urbains de la palpitante scène londonienne. Une voix d'or, suave, ensorcelante... Omar, le King of Soul... (Lylo)
Ce n'est qu'au seuil des années 2000 qu'Omar a été intronisé « Prince de la soul anglaise ». Le fils du jamaïcain Byron Lee est pourtant loin d'être un débutant dans le monde de la musique. Il s'est distingué en tant que percussionniste dans les années 1980, avant de connaître le succès et d'imposer le respect de ses pairs en 1990 dès son premier album, « There's Nothing Like This », dont le titre éponyme est devenu un tube. Mais peu enclin à rentrer dans le jeu médiatique, le précurseur de la Néo Soul anglaise a préféré laisser ses successeurs rafler la mise, ce qui n'empêche pas Erykah Badu, Maxwell, Jill Scott, D'Angelo ou encore son idole Stevie Wonder en personne, de saluer aujourd'hui son talent.
Production : New Morning
La déesse de la Soul, 74 ans, complice de James Brown pendant plus de trente ans, traverse les décennies et collaboration avec succès et passion! Son coup de coeur pour Omar fut immédiat. Après avoir collaboré en studio, ils se retrouveront sur la scène du New Morning accompagnés par les Soul Cookers. L'occasion de retrouver Omar et Martha High sur des titres inédits en Duo!
= MARTHA HIGH AND THE SOUL COOKERS =
Une chanteuse dont la carrière fut tellement chargée en rencontres de haut vol qu'elle peut vous commencer une phrase en vous parlant de Bo Diddley et la finir avec George Clinton et James Brown en passant par Marvin Gaye.
Quand la chanteuse Martha High intégra l'orchestre de James Brown au milieu des années 60, elle n'imaginait sûrement pas que cette aventure durerait plus de 35 ans. Aux côtés du «Parrain de la Soul », la jeune femme découvrira la scène, les studios d'enregistrement, les tournées aux quatre coins de la planète et l'exigence d'un art populaire afro-américain, la Soul-Music !
Cet apprentissage en compagnie d'un artiste intransigeant, perfectionniste et profondément doué guidera les premiers pas de la demoiselle vers l'excellence. En sa qualité de choriste, Martha High eut l'opportunité d'observer avec minutie les prestations de son mentor, de participer à des événements historiques, d'accompagner les soubresauts de la lutte du peuple noir.
Le 5 avril 1968, 24h après l'assassinat de Martin Luther King, elle était à Boston sur scène avec «Mr Dynamite» qui tentait, tant bien que mal, d'apaiser les tensions raciales en appelant à la dignité de ses contemporains.
Le 24 septembre 1974, elle était également présente lors du festival «Rumble in the Jungle », dont James Brown était la tête d'affiche, organisé à Kinshasa en prélude au combat de boxe qui opposait Mohamed Ali et George Foreman. Pendant 3 décennies, Martha High a donc été témoin des grandes heures de «L'épopée des Musiques Noires». (Joe Farmer, RFI)
La diva n'a rien perdu de sa fraîcheur et de sa superbe, comme le prouve son premier extrait intitulé « Lovelight », résolument racé et si proche du Memphis Sound de l'illustre écurie Stax.
= OMAR =
Ce mélomane hors du commun (ayant collaboré sur son dernier album avec Stevie Wonder, Estelle, Common et Angie Stone !) au charisme exceptionnel vous fera voyager à coup sûr dans un univers où le groove réchauffe les corps et les coeurs. Il est indéniablement l'un des maîtres et précurseurs du mouvement new-soul, et soul-prophète en son pays, l'Angleterre.
Avec ses dreadlocks rasées sur les côtés, Omar est le père de la Néo-Soul anglaise. Chanteur, compositeur, producteur, il interpréta « There's Nothing Like This » dans les années 90, puis se retira pour toujours plus de créativité et de crédibilité. Avec Stevie Wonder comme père spirituel, son fan-club va de Gilles Peterson à Erykah Badu, en passant par Angie Stone et bien d'autres.
Ce chanteur à la voix d'or est la référence incontestée de la nu soul, qu'il a introduit en Europe. Un univers unique, hybride de soul, hip-hop, jazz et de sons urbains de la palpitante scène londonienne. Une voix d'or, suave, ensorcelante... Omar, le King of Soul... (Lylo)
Ce n'est qu'au seuil des années 2000 qu'Omar a été intronisé « Prince de la soul anglaise ». Le fils du jamaïcain Byron Lee est pourtant loin d'être un débutant dans le monde de la musique. Il s'est distingué en tant que percussionniste dans les années 1980, avant de connaître le succès et d'imposer le respect de ses pairs en 1990 dès son premier album, « There's Nothing Like This », dont le titre éponyme est devenu un tube. Mais peu enclin à rentrer dans le jeu médiatique, le précurseur de la Néo Soul anglaise a préféré laisser ses successeurs rafler la mise, ce qui n'empêche pas Erykah Badu, Maxwell, Jill Scott, D'Angelo ou encore son idole Stevie Wonder en personne, de saluer aujourd'hui son talent.
Voix
Orgue Hammond
Batterie
Guitare
Voix
VOUS DEVRIEZ AIMER
Jeu 07 Novembre
Yemen Blues
Nouvel album : "No More Water: The Gospel of James Baldwin"
Ven 08 Novembre
Thee Sinseers + The Altons
Nouvel album : "No More Water: The Gospel of James Baldwin"
Mar 12 Novembre
Mer 13 Novembre
Meshell Ndegeocello
Nouvel album : "No More Water: The Gospel of James Baldwin"