Mardi 29/03/2011

Mar 29 Mar 2011 : Didier Malherbe & Eric Lohrer
Didier Malherbe
Doudouk, Saxophone soprano
Eric Löhrer
Guitare

Didier Malherbe & Eric Lohrer

Sortie de l'album "Nuit d'Ombrelle" (Naïve/mars 2011)
Jazz

Après avoir participé à l'enregistrement du dernier album d'HADOUK TRIO, Eric Löhrer a enregistré avec Didier Malherbe un album en duo guitare-doudouk. Intitulé "NUIT D'OMBRELLE", ce double CD présente deux volets de leur travail : Jazz songbook (Monk, ballades, standards et 2 compositions originales), et Nuit d'ombrelle, une suite entièrement improvisée.

Après avoir participé à l'enregistrement du dernier album d'HADOUK TRIO, Eric Löhrer a enregistré avec Didier Malherbe un album en duo guitare-doudouk. Intitulé "NUIT D'OMBRELLE", ce double CD présente deux volets de leur travail : Jazz songbook (Monk, ballades, standards et 2 compositions originales), et Nuit d'ombrelle, une suite entièrement improvisée.


Didier Malherbe
Doudouk, Saxophone soprano
Eric Löhrer
Guitare

Mar 29 Mar 2011 : Hadouk Trio
Didier Malherbe
Doudouk, Flute, Khen, Saxophone soprano
Loy Ehrlich
Claviers, Gumbass, Hajouj, Kora
Steve Shehan
Batterie, Djembe, Hang, Percussions

Hadouk Trio

JazzWorld

Venez retrouver l'univers "groove végétal" de nos 3 aventuriers sur la scène du New Morning : tout en gardant les racines africaines caractéristiques de leur musique métissée, Hadouk trio nous transporte encore plus loin avec "Air Hadouk". Didier Malherbe, Loy Ehrlich, Steve Shehan, inlassables, poursuivent leurs explorations...

Après ces grandes réussites que sont « Utopies » et « Baldamore » (50 000 albums vendus) et des prix prestigieux (dont les Victoires de la Musique Jazz 2008), Hadouk Trio nous revient enfin avec un nouvel album studio très aérien et qui nous transporte encore plus loin.

Tout en gardant ces racines africaines qui font le charme incroyable de leur musique métissée, le groupe s'aventure aussi ici sur de nouvelles pistes peu fréquentées (reprise de Monk au doudouk – « Friday the 13th » une première !), un morceau à deux hangs (« hang2hang », une autre première) tout en développant encore la palette multiple des claviers, percussions ou des instruments dits ethniques (khen, flûte chinoise Bau, doudouk et doudouk bigoul) avec toujours cette élégance et ce sens de l'humour, unique.

Après avoir célébré la chimère totémique (« Shamanimal » en 1999) et s'être hissé au sommet du perpétuel présent (« Now » en 2002), le trio se voit couronné d'une Victoire de la Musique pour son cinquième album, « Utopies », aux tournoiements météoriques. Sur les traces mêlées d'Hermann Melville et de Saint-Exupéry, Hadouk joue désormais la fille de l'air. En terrain connu, certes, mais toujours en mouvement vers quelque terra incognita, nos trois baroudeurs de sons ouvrent ici d'autres pistes auxquelles font maintenant échos de nouvelles lignes aériennes... Bienvenue à bord d'Air Hadouk ! Transport garanti sans kérosène, décollage « aérozen », pour un périple aux destinations en devenir. Plus élégant que le low coast, plus chic encore que le saut orbital du tourisme spatial, « Air Hadouk » offre un survol planétaire aux saveurs hédonistes, naturellement poussé par la brise et l'aquilon. En ligne de mire : cet horizon où confins et intime se rejoignent, et depuis lequel les rivages continentaux se redessinent à l'aune de nouvelles métamorphoses instrumentales.

Ainsi le khen, orgue à bouche du Laos, se solarise de contours électriquesb ; le hang, au croisement chatoyant du steel drum et du gamelan, se dédouble et s'ouvre au chromatisme ; le doudouk se jazzifie du côté de chez Monk ; le hajouj, basse du désert à peau de dromadaire, devient piccolo pour prendre de la hauteur, alors que fait son apparition la flûte Bau, anche libre chinoise jouant de ses ondulations ourlées... Autant de territoires sonores qui s'inventent dans la distance prise avec le terroir d'origine.
Visant l'azur, Hadouk épure ses lignes, s'allège et s'élève, plus aérien que l'atmosphère. Swing et loopings, mélodies en escadrilles, haute voltige rythmique et harmonies planantes, nos trois copilotes optent résolument pour le jeu des figures libres. Mais ils sauront aussi vous conduire, sans turbulences, vers un atterrissage en douceur. Bon vent !

Venez retrouver l'univers "groove végétal" de nos 3 aventuriers sur la scène du New Morning : tout en gardant les racines africaines caractéristiques de leur musique métissée, Hadouk trio nous transporte encore plus loin avec "Air Hadouk". Didier Malherbe, Loy Ehrlich, Steve Shehan, inlassables, poursuivent leurs explorations...

Après ces grandes réussites que sont « Utopies » et « Baldamore » (50 000 albums vendus) et des prix prestigieux (dont les Victoires de la Musique Jazz 2008), Hadouk Trio nous revient enfin avec un nouvel album studio très aérien et qui nous transporte encore plus loin.

Tout en gardant ces racines africaines qui font le charme incroyable de leur musique métissée, le groupe s'aventure aussi ici sur de nouvelles pistes peu fréquentées (reprise de Monk au doudouk – « Friday the 13th » une première !), un morceau à deux hangs (« hang2hang », une autre première) tout en développant encore la palette multiple des claviers, percussions ou des instruments dits ethniques (khen, flûte chinoise Bau, doudouk et doudouk bigoul) avec toujours cette élégance et ce sens de l'humour, unique.

Après avoir célébré la chimère totémique (« Shamanimal » en 1999) et s'être hissé au sommet du perpétuel présent (« Now » en 2002), le trio se voit couronné d'une Victoire de la Musique pour son cinquième album, « Utopies », aux tournoiements météoriques. Sur les traces mêlées d'Hermann Melville et de Saint-Exupéry, Hadouk joue désormais la fille de l'air. En terrain connu, certes, mais toujours en mouvement vers quelque terra incognita, nos trois baroudeurs de sons ouvrent ici d'autres pistes auxquelles font maintenant échos de nouvelles lignes aériennes... Bienvenue à bord d'Air Hadouk ! Transport garanti sans kérosène, décollage « aérozen », pour un périple aux destinations en devenir. Plus élégant que le low coast, plus chic encore que le saut orbital du tourisme spatial, « Air Hadouk » offre un survol planétaire aux saveurs hédonistes, naturellement poussé par la brise et l'aquilon. En ligne de mire : cet horizon où confins et intime se rejoignent, et depuis lequel les rivages continentaux se redessinent à l'aune de nouvelles métamorphoses instrumentales.

Ainsi le khen, orgue à bouche du Laos, se solarise de contours électriquesb ; le hang, au croisement chatoyant du steel drum et du gamelan, se dédouble et s'ouvre au chromatisme ; le doudouk se jazzifie du côté de chez Monk ; le hajouj, basse du désert à peau de dromadaire, devient piccolo pour prendre de la hauteur, alors que fait son apparition la flûte Bau, anche libre chinoise jouant de ses ondulations ourlées... Autant de territoires sonores qui s'inventent dans la distance prise avec le terroir d'origine.
Visant l'azur, Hadouk épure ses lignes, s'allège et s'élève, plus aérien que l'atmosphère. Swing et loopings, mélodies en escadrilles, haute voltige rythmique et harmonies planantes, nos trois copilotes optent résolument pour le jeu des figures libres. Mais ils sauront aussi vous conduire, sans turbulences, vers un atterrissage en douceur. Bon vent !


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