Samedi 16/07/2016

Festival « All Stars »
Sam 16 Juil 2016 : Ed Motta
Ed Motta
Fender Rhodes, Voix
Neville Malcom
Basse
Matti Klein
Claviers, Piano
Yoran Vroom
Percussions
Jay Phelps
Trompette
Marc Doffey
Saxophone

Ed Motta

Nouvel album : "Perpetual Gateways"
FunkSoul

Une voix incroyable, une énergie folle, les chansons et la production de ce personnage ne peuvent qu'être appréciées. . Au-delà d'avoir été nominé aux Grammy Awards, Ed Motta est une force de la nature, un véritable show man, mais surtout un auteur/compositeur hors pair. Déjà une star au Brésil dont il est originaire, quelque part entre musique populaire brésilienne, soul, funk, rock et jazz celui que l'on appelle « le Colosse de Rio » nous transporte tout droit du côté de la « West coast » avec son groove imparable.

== Ils en parlent ==
Le multi-instrumentiste et chanteur, adulé aux quatre coins du globe, vient de sortir « Perpetual Gateways », un quinzième album de fusion soul et spiritual jazz.
Depuis les années 1980, le colosse de Rio de Janeiro mêle jazz, funk, soul ou musiques brésiliennes avec une précision et une efficacité redoutable. Musicien, songwriter, producteur, collectionneur de vinyles, Ed Motta est le maître actuel d'une soul suave, sensuelle et gorgée de lumière qui nous renvoie aux plus belles partitions de Barry White. Trois ans après son projet de pop Californienne sophistiquée AOR (pour Adult Oriented Rock), ce carioca fan de cinéma européen et de Jacques Tati, vient de sortir « Perpetual Gateways » produit par Kamau Kenyatta, le producteur de Gregory Porter. Un album plus jazz enregistré à Pasadéna avec quelques grands noms de la côte Ouest comme le batteur Marvin « Smitty » Smith, le flûtiste Hubert Laws, le trompettiste Curtis Taylor, le contrebassiste Tony Dumas ou les claviéristes Patrice Rushen et Greg Phillinganes. Sorti le 5 février sur le label Membran, ce quinzième album oscille subtilement entre ballades soulfull, groove ravageur et titres résolument jazz avec quelques excursions bop, spiritual jazz et autres merveilles swing. L'occasion d'apprécier la maîtrise parfaite du chanteur et du compositeur brésilien dans des registres différents. (Guillaume Schnee, FiP)

Ainsi, les dix chansons originales du nouvel album d'Ed Motta, « Perpetual Gateways » démontrent avec fulgurance à quel point la combinaison de mélodies, d'harmonies, de rythmes et surtout de cette voix unique peut réveiller nos sentiments et nos désirs les plus intimes. Ce douzième album studio d'Ed Motta, chanteur révéré aux quatre coins du monde, auteur, instrumentiste et bon vivant universel de Rio de Janeiro, apporte tout à la fois un jazz spirituel et un sens profond de la soul. Un casting de musiciens stars de la côte Ouest, réunissant Patrice Rushen et Greg Phillinganes, le batteur Marvin « Smitty » Smith, ou le flûtiste Hubert Laws a insufflé une grosse bouffée de vie dans ces chansons pendant une semaine intense d'enregistrement à Pasadena en septembre 2015.
« Je n'ai jamais été un adolescent. Quand je suis né, j'avais déjà 50 ans » explique Ed Motta. Toujours dans une approche artisanale de l'écriture et de la production de chansons avec cette musicalité experte si apprécié de ses fans inconditionnels, « Perpetual Gateways » bouge le curseur cette fois vers un autre territoire musical familier, cependant délaissé entre le spiritual jazz et la fusion soul de ses maîtres Donny Hathaway et Stevie Wonder. (France Musique)

Le crooner et soulman brésilien Ed Motta nous revient avec un sublime « Perpetual Gateways », son 15° album qu'il publie grâce à l'entremise de l'allemand Membran Entertainment Group (Joss Stone, Peter Schilling, Jimmy Somerville, Johnny Winter...).
Depuis son premier opus paru à la fin des années 80, le chanteur a su imposer sa signature soul/funk sur un marché brésilien inondé par la MPB (musique populaire brésilienne). Presque 30 ans plus tard, le multi instrumentiste nous régale toujours de ses sonorités jazzy gorgées de lumière carioca et ce n'est pas son dernier opus qui changera la donne. En effet on y retrouve sa voix de velours aux rondeurs des plus sensuelles, son groove assassin et classieux sans doute hérité de son oncle Tim Maia (« Barry White de la soul brésilienne »), ainsi que ses arrangements sophistiqués aussi bien influencés par les Earth Wind & Fire(Captain's Refusal) ou Stevie Wonder (Good Intentions) que par les piliers du be-bop (The Owner), de la bossa nova, du tropicalisme ou du rock anglais.
« Perpetual Gateways » se divise en deux mouvements, dans le premier l'auteur/compositeur y expose son amour pour les textures rythmiques chaudes et chaloupées du funk, de la soul et du R&B, il y développe 5 titres à la magie contagieuse et entraînante (dans la lignée de ses idoles Steely Dan et Donald Fagen) même lorsqu'il s'agit de ballades romantiques telles que « Reader's Choice ». Les lignes de basse électrique de Cecil Mc Bee Jr. (fils de Cecil Mc Bee qui officia à la contrebasse auprès d'Alice Coltrane, Art Pepper ou encore Yusef Lateef) y sont pour beaucoup !
Dans un second temps, « Forgotten Nickname » marque un changement de registre avec ses reflets acoustiques habités de ces notes bleues si précieuses et délicates, on notera d'ailleurs la délicieuse intervention du flutiste américain Hubert Laws (George Benson, Chet Baker, Chick Corea, Quincy Jones...).
« A Town In Flame » ravira les amateurs de jazz vocal effervescent aux orchestrations euphoriques chargées de cuivres (Curtis Taylor à la trompette, Charles Owens et Ricky Woodard au sax) et de claviers (Patrice Rushen et Greg Phillinganes) qu'un certain Gregory Porter démocratise depuis quelques années (pour l'anecdote, c'est le même Hubert Laws qui donna sa chance à l'ancien joueur de football américain, alors petit protégé de l'actuel producteur d'Ed Kamau Kenyatta, dans son hommage à Nat King Cole en 1998).
Le tempo est soutenu par l'énergique batteur Marvin « Smitty » Smith (Jon Hendricks, Achie Shepp, Sting...) et l'étonnant contrebassiste Tony Dumas (Freddie Hubbard, tous deux nous offrent l'assise des épiques « I Remember Julie » et « Overblown Overweight », véritables temps forts de l'album Avec leur swing ravageur et terriblement généreux.
Ed Motta nous offre à nouveau un rayon de soleil, une onde soul/jazz aux vibrations positives et aux pulsations enivrantes. Aucune fausse note parmi les 10 titres qu'il a écrits et composés, épaulé par un mentor, le pianiste, saxophoniste, enseignant et arrangeur de Détroit Kamau Kenyatta. (Fonkadelica)

Le chanteur carioca Ed Motta est de retour avec "Perpetual Gateways", un nouvel album réjouissant, au groove infaillible, et dans lequel on retrouve toute la palette soul, jazz et pop d'un artiste brillant et facétieux, à la fois le plus francophile, cinéphile et érudit musical - tous genres confondus - que le Brésil ait connu. (Annie Yebekian, Culture Box)

Une petite virée sur une Highway ensoleillée de Los Angeles, cela vous tente ? Alors embarquez sans crainte dans la décapotable d'Ed Motta. En compagnie des meilleurs requins de studio californiens, le Crooner brésilien nous emmène dans une virée de jazz West Coast où tout roule, tout baigne. Avec des accents qui ne sont pas sans rappeler ceux de Stevie Wonder, Ed Motta nous propose une première partie très « smooth jazz » sans aspérités, et une seconde partie plus « hard bop » où les puristes retrouveront leurs petits. Dans les deux cas, c'est rudement efficace. (J-M.P, La voix du Nord)

Production : New Morning

Une voix incroyable, une énergie folle, les chansons et la production de ce personnage ne peuvent qu'être appréciées. . Au-delà d'avoir été nominé aux Grammy Awards, Ed Motta est une force de la nature, un véritable show man, mais surtout un auteur/compositeur hors pair. Déjà une star au Brésil dont il est originaire, quelque part entre musique populaire brésilienne, soul, funk, rock et jazz celui que l'on appelle « le Colosse de Rio » nous transporte tout droit du côté de la « West coast » avec son groove imparable.

== Ils en parlent ==
Le multi-instrumentiste et chanteur, adulé aux quatre coins du globe, vient de sortir « Perpetual Gateways », un quinzième album de fusion soul et spiritual jazz.
Depuis les années 1980, le colosse de Rio de Janeiro mêle jazz, funk, soul ou musiques brésiliennes avec une précision et une efficacité redoutable. Musicien, songwriter, producteur, collectionneur de vinyles, Ed Motta est le maître actuel d'une soul suave, sensuelle et gorgée de lumière qui nous renvoie aux plus belles partitions de Barry White. Trois ans après son projet de pop Californienne sophistiquée AOR (pour Adult Oriented Rock), ce carioca fan de cinéma européen et de Jacques Tati, vient de sortir « Perpetual Gateways » produit par Kamau Kenyatta, le producteur de Gregory Porter. Un album plus jazz enregistré à Pasadéna avec quelques grands noms de la côte Ouest comme le batteur Marvin « Smitty » Smith, le flûtiste Hubert Laws, le trompettiste Curtis Taylor, le contrebassiste Tony Dumas ou les claviéristes Patrice Rushen et Greg Phillinganes. Sorti le 5 février sur le label Membran, ce quinzième album oscille subtilement entre ballades soulfull, groove ravageur et titres résolument jazz avec quelques excursions bop, spiritual jazz et autres merveilles swing. L'occasion d'apprécier la maîtrise parfaite du chanteur et du compositeur brésilien dans des registres différents. (Guillaume Schnee, FiP)

Ainsi, les dix chansons originales du nouvel album d'Ed Motta, « Perpetual Gateways » démontrent avec fulgurance à quel point la combinaison de mélodies, d'harmonies, de rythmes et surtout de cette voix unique peut réveiller nos sentiments et nos désirs les plus intimes. Ce douzième album studio d'Ed Motta, chanteur révéré aux quatre coins du monde, auteur, instrumentiste et bon vivant universel de Rio de Janeiro, apporte tout à la fois un jazz spirituel et un sens profond de la soul. Un casting de musiciens stars de la côte Ouest, réunissant Patrice Rushen et Greg Phillinganes, le batteur Marvin « Smitty » Smith, ou le flûtiste Hubert Laws a insufflé une grosse bouffée de vie dans ces chansons pendant une semaine intense d'enregistrement à Pasadena en septembre 2015.
« Je n'ai jamais été un adolescent. Quand je suis né, j'avais déjà 50 ans » explique Ed Motta. Toujours dans une approche artisanale de l'écriture et de la production de chansons avec cette musicalité experte si apprécié de ses fans inconditionnels, « Perpetual Gateways » bouge le curseur cette fois vers un autre territoire musical familier, cependant délaissé entre le spiritual jazz et la fusion soul de ses maîtres Donny Hathaway et Stevie Wonder. (France Musique)

Le crooner et soulman brésilien Ed Motta nous revient avec un sublime « Perpetual Gateways », son 15° album qu'il publie grâce à l'entremise de l'allemand Membran Entertainment Group (Joss Stone, Peter Schilling, Jimmy Somerville, Johnny Winter...).
Depuis son premier opus paru à la fin des années 80, le chanteur a su imposer sa signature soul/funk sur un marché brésilien inondé par la MPB (musique populaire brésilienne). Presque 30 ans plus tard, le multi instrumentiste nous régale toujours de ses sonorités jazzy gorgées de lumière carioca et ce n'est pas son dernier opus qui changera la donne. En effet on y retrouve sa voix de velours aux rondeurs des plus sensuelles, son groove assassin et classieux sans doute hérité de son oncle Tim Maia (« Barry White de la soul brésilienne »), ainsi que ses arrangements sophistiqués aussi bien influencés par les Earth Wind & Fire(Captain's Refusal) ou Stevie Wonder (Good Intentions) que par les piliers du be-bop (The Owner), de la bossa nova, du tropicalisme ou du rock anglais.
« Perpetual Gateways » se divise en deux mouvements, dans le premier l'auteur/compositeur y expose son amour pour les textures rythmiques chaudes et chaloupées du funk, de la soul et du R&B, il y développe 5 titres à la magie contagieuse et entraînante (dans la lignée de ses idoles Steely Dan et Donald Fagen) même lorsqu'il s'agit de ballades romantiques telles que « Reader's Choice ». Les lignes de basse électrique de Cecil Mc Bee Jr. (fils de Cecil Mc Bee qui officia à la contrebasse auprès d'Alice Coltrane, Art Pepper ou encore Yusef Lateef) y sont pour beaucoup !
Dans un second temps, « Forgotten Nickname » marque un changement de registre avec ses reflets acoustiques habités de ces notes bleues si précieuses et délicates, on notera d'ailleurs la délicieuse intervention du flutiste américain Hubert Laws (George Benson, Chet Baker, Chick Corea, Quincy Jones...).
« A Town In Flame » ravira les amateurs de jazz vocal effervescent aux orchestrations euphoriques chargées de cuivres (Curtis Taylor à la trompette, Charles Owens et Ricky Woodard au sax) et de claviers (Patrice Rushen et Greg Phillinganes) qu'un certain Gregory Porter démocratise depuis quelques années (pour l'anecdote, c'est le même Hubert Laws qui donna sa chance à l'ancien joueur de football américain, alors petit protégé de l'actuel producteur d'Ed Kamau Kenyatta, dans son hommage à Nat King Cole en 1998).
Le tempo est soutenu par l'énergique batteur Marvin « Smitty » Smith (Jon Hendricks, Achie Shepp, Sting...) et l'étonnant contrebassiste Tony Dumas (Freddie Hubbard, tous deux nous offrent l'assise des épiques « I Remember Julie » et « Overblown Overweight », véritables temps forts de l'album Avec leur swing ravageur et terriblement généreux.
Ed Motta nous offre à nouveau un rayon de soleil, une onde soul/jazz aux vibrations positives et aux pulsations enivrantes. Aucune fausse note parmi les 10 titres qu'il a écrits et composés, épaulé par un mentor, le pianiste, saxophoniste, enseignant et arrangeur de Détroit Kamau Kenyatta. (Fonkadelica)

Le chanteur carioca Ed Motta est de retour avec "Perpetual Gateways", un nouvel album réjouissant, au groove infaillible, et dans lequel on retrouve toute la palette soul, jazz et pop d'un artiste brillant et facétieux, à la fois le plus francophile, cinéphile et érudit musical - tous genres confondus - que le Brésil ait connu. (Annie Yebekian, Culture Box)

Une petite virée sur une Highway ensoleillée de Los Angeles, cela vous tente ? Alors embarquez sans crainte dans la décapotable d'Ed Motta. En compagnie des meilleurs requins de studio californiens, le Crooner brésilien nous emmène dans une virée de jazz West Coast où tout roule, tout baigne. Avec des accents qui ne sont pas sans rappeler ceux de Stevie Wonder, Ed Motta nous propose une première partie très « smooth jazz » sans aspérités, et une seconde partie plus « hard bop » où les puristes retrouveront leurs petits. Dans les deux cas, c'est rudement efficace. (J-M.P, La voix du Nord)


Ed Motta
Fender Rhodes, Voix
Neville Malcom
Basse
Matti Klein
Claviers, Piano
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Jay Phelps
Trompette
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