Mercredi 31/07/2019

Festival « All Stars »
Mer 31 Juil 2019 : Antibalas
Duke Amayo
Voix
Martín Perna
Saxophone baryton
William Aukstik
Trompette
Eric Biondo
Trompette
Raymond Mason
Trombone
Raja Kassis
Guitare
Timothy Allen
Guitare
Will Rast
Claviers
Reinaldo De Jesus
Congas
Marcus Farrar
Shekere
Kevin Raczka
Batterie

Antibalas

AfrobeatFunkSoul

Live fulgurant dans la tradition afrobeat de Fela Kuti : rythme, groove, énergie pulsative irradient quand ce big band de Brooklyn entre en scène!

Avec une solide section de cuivres, un gang de percussionnistes experts, une rythmique funky et des textes chantés en anglais, espagnol et yoruba, Antibalas possède une puissance de feu prête à donner un nouveau souffle torride à l'afrobeat. Bien qu'il soit estampillé seventies, Antibalas a bien la claire revendication d'appartenir à la mouvance afrobeat. Dans la plus pure tradition de Fela Kuti. Fer de lance du mythique label Daptone Records (Sharon Jones, Charles Bradley, ...), imprégné d'influences musicales diverses, avec autant d'apports latino et ouest-africains, que purement américains, Antibalas est décapant de sons électriques et traditionnels. En somme, un groove dansant et hypnotique, résultant une critique sociale à tendance humaniste.

Avec pour références Fela Kuti et Eddie Palmieri, les rois américains de l'afrobeat conjuguent le plaisir de la danse et les prises de conscience.

Vingt ans et des milliers de concerts après leur naissance dans un hangar funky de Brooklyn, le combo dont le nom signifie « pare-balles » en espagnol, demeure fidèle à sa formule à haute teneur énergétique, où les mots portés par le charismatique chanteur Duke Amayo ciblent les maux qui minent nos sociétés. Pour preuve, leur récent disque vise tout particulièrement l'impérialisme du modèle américain, avant d'invoquer Zion, le paradis sur Terre.

= Ils en parlent =
Reconnu pour avoir honoré l'héritage afrobeat de Fela Anikulapo Kuti et Tony Allen, au début de leur carrière, en 1998, le groupe de Brooklyn et son leader le saxophoniste baryton Martín Perna ont re-popularisé le genre en y ajoutant des ingrédients propres à leur berceau new-yorkais. Punk rock, free jazz, latin-jazz et hip-hop ont donc rejoint le cocktail explosif de jazz, de funk et de highlife du regretté Nigérian. Outre la transe groove du Black President, Antibalas continue le combat spitituel et politique de Kuti, s'inspirant de son cultissime slogan « Music is a Weapon » (La musique est une arme). (FIP)

Le collectif new-yorkais redit les fondamentaux de l'afrobeat de Fela, entre groove charnu et rythmes hypnotiques, mais y ajoute cette fièvre « métisseuse » qui fait sa patte, en transpirant allègrement du côté de la salsa, pour un éveil aux consciences funk à souhait. Leur énergie en acier trempé fait toujours son effet. (Anne Berthod, Télérama)

Production : New Morning

Live fulgurant dans la tradition afrobeat de Fela Kuti : rythme, groove, énergie pulsative irradient quand ce big band de Brooklyn entre en scène!

Avec une solide section de cuivres, un gang de percussionnistes experts, une rythmique funky et des textes chantés en anglais, espagnol et yoruba, Antibalas possède une puissance de feu prête à donner un nouveau souffle torride à l'afrobeat. Bien qu'il soit estampillé seventies, Antibalas a bien la claire revendication d'appartenir à la mouvance afrobeat. Dans la plus pure tradition de Fela Kuti. Fer de lance du mythique label Daptone Records (Sharon Jones, Charles Bradley, ...), imprégné d'influences musicales diverses, avec autant d'apports latino et ouest-africains, que purement américains, Antibalas est décapant de sons électriques et traditionnels. En somme, un groove dansant et hypnotique, résultant une critique sociale à tendance humaniste.

Avec pour références Fela Kuti et Eddie Palmieri, les rois américains de l'afrobeat conjuguent le plaisir de la danse et les prises de conscience.

Vingt ans et des milliers de concerts après leur naissance dans un hangar funky de Brooklyn, le combo dont le nom signifie « pare-balles » en espagnol, demeure fidèle à sa formule à haute teneur énergétique, où les mots portés par le charismatique chanteur Duke Amayo ciblent les maux qui minent nos sociétés. Pour preuve, leur récent disque vise tout particulièrement l'impérialisme du modèle américain, avant d'invoquer Zion, le paradis sur Terre.

= Ils en parlent =
Reconnu pour avoir honoré l'héritage afrobeat de Fela Anikulapo Kuti et Tony Allen, au début de leur carrière, en 1998, le groupe de Brooklyn et son leader le saxophoniste baryton Martín Perna ont re-popularisé le genre en y ajoutant des ingrédients propres à leur berceau new-yorkais. Punk rock, free jazz, latin-jazz et hip-hop ont donc rejoint le cocktail explosif de jazz, de funk et de highlife du regretté Nigérian. Outre la transe groove du Black President, Antibalas continue le combat spitituel et politique de Kuti, s'inspirant de son cultissime slogan « Music is a Weapon » (La musique est une arme). (FIP)

Le collectif new-yorkais redit les fondamentaux de l'afrobeat de Fela, entre groove charnu et rythmes hypnotiques, mais y ajoute cette fièvre « métisseuse » qui fait sa patte, en transpirant allègrement du côté de la salsa, pour un éveil aux consciences funk à souhait. Leur énergie en acier trempé fait toujours son effet. (Anne Berthod, Télérama)


Duke Amayo
Voix
Martín Perna
Saxophone baryton
William Aukstik
Trompette
Eric Biondo
Trompette
Raymond Mason
Trombone
Raja Kassis
Guitare
Timothy Allen
Guitare
Will Rast
Claviers
Reinaldo De Jesus
Congas
Marcus Farrar
Shekere
Kevin Raczka
Batterie


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