Samedi 24/11/2018

Sam 24 Nov 2018 : Sofiane Saidi & Mazalda

Sofiane Saidi & Mazalda

Release party LP & International El Ndjoum + DJ Set Zirko (mix K7)
ElectroOriental

Une nuit transformant l'antre du jazz parisien, le New Morning en Cabaret Raï 2.0, ultra sensuel, alternant les mixes sur K7 originales de Dj Zirko, avec la fougue Live d'un Sofiane Saidi survolté et ses musiciens ivres de son vintage et cosmiques ! Quand un dandy Raï parisien se livre à son public.

Sofiane Saidi débarque avec Mazalda, un groupe de six musiciens, pour faire danser et vibrer en mêlant les sons d'aujourd'hui aux ondes mystiques du Nord de l'Afrique, les basslines des synthés Roland, le saz dopé à l'overdrive, la gasbah électronique et les synthés-zurnas, la batterie branchée sur une derbouka-beat imbattable...

Sofiane Saidi fait souffler un vent nouveau sur la musique maghrébine.
Il arrive des profondeurs du Raï, de Sidi Bel Abbes, le fief du raï aux guitares saturées.

Il a navigué dans l'Egypte de Natacha Atlas, le Londres de Tim Weelhan (TransGlobal Underground), avec comme port d'attache, la nuit à Paris: cabarets orientaux, clubs, afters en bord de Seine où il pose sa voix sur les Dj sets d'Acid Arab. Entre Barbès et la jeunesse fêtarde du IIIème millénaire.

= Ils en parlent =
On croyait le grand raï mort avec le déclin de Khaled, Cheb Mami et con¬sorts, dans le meilleur des cas réduit à quelques performances vocodées dans les boîtes à chicha des périphéries urbaines. Et voilà qu'il renaît par la voix rauque et enfumée d'un quadragénaire parisien originaire de Sidi Bel Abbès, en Algérie. Trois ans après El Mordjane, disque déjà prometteur, Sofiane Saidi est de retour, accompagné cette fois par Mazalda, un groupe de musiciens lyonnais avec lequel il a déjà électrisé les scènes françaises. En studio, guitares rock et synthés analogiques aux tournures mélismatiques invitent à tournoyer sous les étoiles (el ndjoum en arabe), sur un groove vintage mouillé d'une réverbe intimiste et chaleureuse, qui rappelle moins le raï des années 1990 que celui de la décennie précédente. Car, au-delà de la fête, plus cosmique que stroboscopique, Sofiane Saidi renoue surtout avec l'âpreté des origines, mélangeant batterie et derboukas, flûte électronique et flûte de roseau traditionnelle. Adaptées de vieux morceaux raï, ses chansons suintent le blues, celui que les bergers noyaient autrefois dans la bouteille sous les oliviers. La reprise du Saïda de Cheikha Rimitti qui clôture le disque -un chant de l'exil lancinant - donne des frissons. (Anne Berthod, Télérama)

Sofiane Saidi et Mazalda, grande carrière de beau raï.
Sollicité par le collectif de musiciens bidouilleurs, le chanteur s'est plongé avec eux dans un retour aux sources, sauce contemporaine, de ce style musical né en Algérie et bien installé en France depuis une quarantaine d'années...
El Ndjoum (les étoiles), le répertoire alterne, en un peu plus de 40 minutes, rythmiques pied au plancher et complaintes plus posées. On les croirait sorties d'un lointain passé. Il n'en est rien : toutes ont été composées par leurs soins et ajustées par Sofiane Saidi qui signe des paroles en mode autobiographique. Et ce n'est pas par hasard qu'ils ont gardé pour la fin l'unique reprise, introduite après un superbe solo de trompette : Saida, sombre coup de blues, en fait une histoire d'exil et d'amour épicurien signée Rimitti, la grand-mère du raï, à l'intersection de toutes les tendances. Celle-là même qui, dès 1994, se réinventait dans les studios parisiens avec Sidi Mansour mixant funk électronique et instruments traditionnels. La preuve ultime que cette musique n'a jamais quittée la piste de transe. (Jacques Denis, Libération)

L'onde céleste de Sofiane Saidi & Mazalda
Il était une fois Mazalda, un collectif de musiciens bigrement excitants, amoureux des musiques traditionnelles du monde (Huayno, chaabi ...) et adeptes des musiques hybrides débridées. Passionnés par les productions inspirées de Rachid Baba Ahmed, ils explorent le raï à leur façon. Enivrés par le chant viscéral du chanteur originaire de Sidi Bel Abbès, Sofiane Saidi, ils l'invitent à venir se frotter à leur curiosité artistique. Ce dernier, séduit par leur son « psyché cosmique » nourri au raï du désert, pressent que leurs urgences respectives peuvent se rejoindre. Au fil des semaines, la rencontre débouche sur un désir d'union. Le travail du répertoire se fait de manière collégiale. Les musiciens apportent les compositions et Sofiane Saidi, des textes nouveaux. Et c'est parti pour le meilleur... (Catherine Carette, FIP)

Production : New Morning

Une nuit transformant l'antre du jazz parisien, le New Morning en Cabaret Raï 2.0, ultra sensuel, alternant les mixes sur K7 originales de Dj Zirko, avec la fougue Live d'un Sofiane Saidi survolté et ses musiciens ivres de son vintage et cosmiques ! Quand un dandy Raï parisien se livre à son public.

Sofiane Saidi débarque avec Mazalda, un groupe de six musiciens, pour faire danser et vibrer en mêlant les sons d'aujourd'hui aux ondes mystiques du Nord de l'Afrique, les basslines des synthés Roland, le saz dopé à l'overdrive, la gasbah électronique et les synthés-zurnas, la batterie branchée sur une derbouka-beat imbattable...

Sofiane Saidi fait souffler un vent nouveau sur la musique maghrébine.
Il arrive des profondeurs du Raï, de Sidi Bel Abbes, le fief du raï aux guitares saturées.

Il a navigué dans l'Egypte de Natacha Atlas, le Londres de Tim Weelhan (TransGlobal Underground), avec comme port d'attache, la nuit à Paris: cabarets orientaux, clubs, afters en bord de Seine où il pose sa voix sur les Dj sets d'Acid Arab. Entre Barbès et la jeunesse fêtarde du IIIème millénaire.

= Ils en parlent =
On croyait le grand raï mort avec le déclin de Khaled, Cheb Mami et con¬sorts, dans le meilleur des cas réduit à quelques performances vocodées dans les boîtes à chicha des périphéries urbaines. Et voilà qu'il renaît par la voix rauque et enfumée d'un quadragénaire parisien originaire de Sidi Bel Abbès, en Algérie. Trois ans après El Mordjane, disque déjà prometteur, Sofiane Saidi est de retour, accompagné cette fois par Mazalda, un groupe de musiciens lyonnais avec lequel il a déjà électrisé les scènes françaises. En studio, guitares rock et synthés analogiques aux tournures mélismatiques invitent à tournoyer sous les étoiles (el ndjoum en arabe), sur un groove vintage mouillé d'une réverbe intimiste et chaleureuse, qui rappelle moins le raï des années 1990 que celui de la décennie précédente. Car, au-delà de la fête, plus cosmique que stroboscopique, Sofiane Saidi renoue surtout avec l'âpreté des origines, mélangeant batterie et derboukas, flûte électronique et flûte de roseau traditionnelle. Adaptées de vieux morceaux raï, ses chansons suintent le blues, celui que les bergers noyaient autrefois dans la bouteille sous les oliviers. La reprise du Saïda de Cheikha Rimitti qui clôture le disque -un chant de l'exil lancinant - donne des frissons. (Anne Berthod, Télérama)

Sofiane Saidi et Mazalda, grande carrière de beau raï.
Sollicité par le collectif de musiciens bidouilleurs, le chanteur s'est plongé avec eux dans un retour aux sources, sauce contemporaine, de ce style musical né en Algérie et bien installé en France depuis une quarantaine d'années...
El Ndjoum (les étoiles), le répertoire alterne, en un peu plus de 40 minutes, rythmiques pied au plancher et complaintes plus posées. On les croirait sorties d'un lointain passé. Il n'en est rien : toutes ont été composées par leurs soins et ajustées par Sofiane Saidi qui signe des paroles en mode autobiographique. Et ce n'est pas par hasard qu'ils ont gardé pour la fin l'unique reprise, introduite après un superbe solo de trompette : Saida, sombre coup de blues, en fait une histoire d'exil et d'amour épicurien signée Rimitti, la grand-mère du raï, à l'intersection de toutes les tendances. Celle-là même qui, dès 1994, se réinventait dans les studios parisiens avec Sidi Mansour mixant funk électronique et instruments traditionnels. La preuve ultime que cette musique n'a jamais quittée la piste de transe. (Jacques Denis, Libération)

L'onde céleste de Sofiane Saidi & Mazalda
Il était une fois Mazalda, un collectif de musiciens bigrement excitants, amoureux des musiques traditionnelles du monde (Huayno, chaabi ...) et adeptes des musiques hybrides débridées. Passionnés par les productions inspirées de Rachid Baba Ahmed, ils explorent le raï à leur façon. Enivrés par le chant viscéral du chanteur originaire de Sidi Bel Abbès, Sofiane Saidi, ils l'invitent à venir se frotter à leur curiosité artistique. Ce dernier, séduit par leur son « psyché cosmique » nourri au raï du désert, pressent que leurs urgences respectives peuvent se rejoindre. Au fil des semaines, la rencontre débouche sur un désir d'union. Le travail du répertoire se fait de manière collégiale. Les musiciens apportent les compositions et Sofiane Saidi, des textes nouveaux. Et c'est parti pour le meilleur... (Catherine Carette, FIP)




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