Mardi 13/11/2018

Mar 13 Nov 2018 : Terence Blanchard E-collective
Terence Blanchard
Trompette
Fabian Almazan
Piano
Charles Altura
Guitare
David Ginyard
Basse
Oscar Seaton
Batterie

Terence Blanchard E-collective

Dernier album : "Live"
FunkGrooveJazz

Sur « Live », dans un climat funk et groovy, cinq musiciens inspirés par leur idéaux mettent en avant une musique ouverte et porteuse d'espoir. Elle se fait survoltée, déborde d'énergie et s'enflamme violemment comme en écho à la violence. Par contre elle devient méditative, déroule des motifs calmes et sereins et fait baisser le niveau de révolte. Un opus proposé comme un baume apaisant pour cicatriser les plaies laissées par la violence.

Ce célèbre trompettiste et compositeur originaire de la Nouvelle-Orléans commence sa carrière dans les années 80 dans l'orchestre de Lionel Hampton puis avec les Jazz Messengers d'Art Blakey.

Il multiplie ensuite les explorations musicales et signe la musique de plus de cinquante bandes originales de films (dont Malcom X de Spike Lee).

Après avoir reçu 4 grammy awards, le Prix Miles-Davis 2014 , et signé plusieurs albums sur le prestigieux label, Blue Note, Terence Blanchard se lance avec son nouveau quintet, the E-Collective, sur le terrain de la fusion groove, funk et blues, digne des grandes années de Weather Report ou d'Herbie Hancock, période Headhunters ou Mwandishi.

Du jazz de très haut vol !

= Ils en parlent =
Le magnifique trompettiste qu'est Terence Blanchard a prouvé sa capacité à maintenir haut la tradition de New Orleans, gorgée de blues. (M.Contat, Télérama)

Terence Blanchard, grand trompettiste, rival de Wynton Marsalis, né comme lui à La Nouvelle-Orléans, superbe instrumentiste, auteur des BO des films de Spike Lee et d'un admirable requiem sur Katrina, A Tale Of God's Will... (M Contat, Télérama)

Pour Terence Blanchard, le E-Collective incarne le meilleur des idéaux américains : « Cinq personnalités distinctes, avec des visions différentes, qui jouent ensemble dans le but commun de remplir les coeurs d'espoir et d'ouvrir les esprits. » En 2017, le trompettiste avait emmené son groupe électrique dans des villes récemment marquées par la violence - en l'occurrence,Cleveland et Dallas théâtres d'assassinats de citoyens noirs américains par des policiers, et St. Paul où des policiers en service lors d'un rassemblement du mouvement Black Lives Matter furent victimes d'un sniper antiblanc,S'appuyant sur l'héritage du jazz-rock des années 70, porté par un groove profond et des synthés chaleureux, cette fusion est traversée d'une colère et d'une tension bien palpables, notamment dans les chorus de trompette aux sonorités parfois déchirées. Rien de sinistre ni de passéiste dans ces sept compositions qui brillent par leur sophistication, leur énergie, et une touche urbaine rehaussée d'accents hip-hop. Servie par une équipe impeccable (mention spéciale à Charles Altura dont la guitare assez rock apporte une coloration progressive et mélancolique bienvenue, à l'instar des claviers inspirés de Fabian Almazan), voici une musique intense, chargée de sens, qui suscite une durable émotion. (Félix Marciano, Jazz Mag)

Dans « Live » (Blue Note/Universal), à la tête de son quintet actuel, The E-Collective, le leader s'attaque à la violence liée aux armes à feu dans son pays. Et ce n'est pas une coïncidence si les enregistrements en direct sélectionnés proviennent de concerts donnés à Saint-Paul, Cleveland et Dallas, où les armes ont fait plusieurs victimes, dont des policiers.Quant la musique, elle est expérimentale,éclectique et exotique. «L'orchestre est un exemple de la révolution musicale qui est en train de se mettre en place », explique le trompettiste. D'où une forme de jazz qui emprunte fortement aux musiques urbaines,résolument attaché aux sujets traités par ses sonorités et thèmes musclés. Du lourd ! (Didier Pennequin, Le Quotidien du Médecin)

Terence Blanchard. Le trompettiste a fait ses premiers pas avec le vénérable Art Blakey, mais il aime aussi beaucoup la pop et le rock. C'est évident sur son nouvel album live, où il laisse une part prépondérante à la guitare. C'est ce que l'on entend sur le rêveur Dear Jimi, pétri de références au dieu de la six-cordes, Jimi Hendrix. (Remi Bonnet, l'Echo)

Production : New Morning

Sur « Live », dans un climat funk et groovy, cinq musiciens inspirés par leur idéaux mettent en avant une musique ouverte et porteuse d'espoir. Elle se fait survoltée, déborde d'énergie et s'enflamme violemment comme en écho à la violence. Par contre elle devient méditative, déroule des motifs calmes et sereins et fait baisser le niveau de révolte. Un opus proposé comme un baume apaisant pour cicatriser les plaies laissées par la violence.

Ce célèbre trompettiste et compositeur originaire de la Nouvelle-Orléans commence sa carrière dans les années 80 dans l'orchestre de Lionel Hampton puis avec les Jazz Messengers d'Art Blakey.

Il multiplie ensuite les explorations musicales et signe la musique de plus de cinquante bandes originales de films (dont Malcom X de Spike Lee).

Après avoir reçu 4 grammy awards, le Prix Miles-Davis 2014 , et signé plusieurs albums sur le prestigieux label, Blue Note, Terence Blanchard se lance avec son nouveau quintet, the E-Collective, sur le terrain de la fusion groove, funk et blues, digne des grandes années de Weather Report ou d'Herbie Hancock, période Headhunters ou Mwandishi.

Du jazz de très haut vol !

= Ils en parlent =
Le magnifique trompettiste qu'est Terence Blanchard a prouvé sa capacité à maintenir haut la tradition de New Orleans, gorgée de blues. (M.Contat, Télérama)

Terence Blanchard, grand trompettiste, rival de Wynton Marsalis, né comme lui à La Nouvelle-Orléans, superbe instrumentiste, auteur des BO des films de Spike Lee et d'un admirable requiem sur Katrina, A Tale Of God's Will... (M Contat, Télérama)

Pour Terence Blanchard, le E-Collective incarne le meilleur des idéaux américains : « Cinq personnalités distinctes, avec des visions différentes, qui jouent ensemble dans le but commun de remplir les coeurs d'espoir et d'ouvrir les esprits. » En 2017, le trompettiste avait emmené son groupe électrique dans des villes récemment marquées par la violence - en l'occurrence,Cleveland et Dallas théâtres d'assassinats de citoyens noirs américains par des policiers, et St. Paul où des policiers en service lors d'un rassemblement du mouvement Black Lives Matter furent victimes d'un sniper antiblanc,S'appuyant sur l'héritage du jazz-rock des années 70, porté par un groove profond et des synthés chaleureux, cette fusion est traversée d'une colère et d'une tension bien palpables, notamment dans les chorus de trompette aux sonorités parfois déchirées. Rien de sinistre ni de passéiste dans ces sept compositions qui brillent par leur sophistication, leur énergie, et une touche urbaine rehaussée d'accents hip-hop. Servie par une équipe impeccable (mention spéciale à Charles Altura dont la guitare assez rock apporte une coloration progressive et mélancolique bienvenue, à l'instar des claviers inspirés de Fabian Almazan), voici une musique intense, chargée de sens, qui suscite une durable émotion. (Félix Marciano, Jazz Mag)

Dans « Live » (Blue Note/Universal), à la tête de son quintet actuel, The E-Collective, le leader s'attaque à la violence liée aux armes à feu dans son pays. Et ce n'est pas une coïncidence si les enregistrements en direct sélectionnés proviennent de concerts donnés à Saint-Paul, Cleveland et Dallas, où les armes ont fait plusieurs victimes, dont des policiers.Quant la musique, elle est expérimentale,éclectique et exotique. «L'orchestre est un exemple de la révolution musicale qui est en train de se mettre en place », explique le trompettiste. D'où une forme de jazz qui emprunte fortement aux musiques urbaines,résolument attaché aux sujets traités par ses sonorités et thèmes musclés. Du lourd ! (Didier Pennequin, Le Quotidien du Médecin)

Terence Blanchard. Le trompettiste a fait ses premiers pas avec le vénérable Art Blakey, mais il aime aussi beaucoup la pop et le rock. C'est évident sur son nouvel album live, où il laisse une part prépondérante à la guitare. C'est ce que l'on entend sur le rêveur Dear Jimi, pétri de références au dieu de la six-cordes, Jimi Hendrix. (Remi Bonnet, l'Echo)


Terence Blanchard
Trompette
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Charles Altura
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