Nouvel album : "Koya"
Abou Diarra compte parmi ces artistes rares qui ne sengagent dans un nouveau projet quaprès y avoir été poussés par une nécessité intérieure profonde.
« Koya », ainsi nommé pour rendre hommage à sa mère éponyme, sinscrit dans la continuité dune longue réflexion musicale en même temps quil emprunte de nouvelles directions.
Pour la première fois, Abou se confronte aux tissages de samples de Nicolas Repac, à ses grooves plus electro, mais aussi au blues de lharmoniciste Vincent Bucher. Pour autant, au kamele ngoni comme au chant, habilement soutenu par Toumani Diabaté, et les musiciens du Donko Band, il ne sécarte jamais dune spiritualité musicale authentiquement malienne.
La ferveur dAbou Diarra transparaît dans chaque note de cet album tout de richesse humble et entièrement à son image : une sincérité absolue, une pleine acceptation de la vie considérée comme un devenir constant, et surplombant le tout, le sentiment serein dune harmonie supérieure.
= Ils en parlent =
Venu présenter « Koya », un quatrième album judicieusement arrangé par Nicolas Repac, le joueur de kamele ngoni, la harpe-luth des chasseurs mandingues, soffre une virée majestueuse en terre de blues, avec lharmonica de Vincent Bucher, lonesome cow-boy rodé aux pulsations africaines. (Télérama)
L'un des plus beaux albums de musique métisse de l'année. (FIP)
Mystique et chaude, sa musique est planante... et nous mène ailleurs, en terrain inconnu, mais familier. (Métro)
Pour la première fois, Abou se confronte aux tissages de samples de Nicolas Repac, à ses grooves plus electro, mais aussi au blues de lharmoniciste Vincent Bucher. Pour autant, au kamele ngoni comme au chant, habilement soutenu par Toumani Diabaté, et les musiciens du Donko Band, il ne sécarte jamais dune spiritualité musicale authentiquement malienne.
La ferveur dAbou Diarra transparaît dans chaque note de cet album tout de richesse humble et entièrement à son image : une sincérité absolue, une pleine acceptation de la vie considérée comme un devenir constant, et surplombant le tout, le sentiment serein dune harmonie supérieure.
= Ils en parlent =
Venu présenter « Koya », un quatrième album judicieusement arrangé par Nicolas Repac, le joueur de kamele ngoni, la harpe-luth des chasseurs mandingues, soffre une virée majestueuse en terre de blues, avec lharmonica de Vincent Bucher, lonesome cow-boy rodé aux pulsations africaines. (Télérama)
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