Jeudi 28/07/2022

Festival « All Stars »
Jeu 28 Juil 2022 : J.P. Bimeni & The Black Belts

J.P. Bimeni & The Black Belts

Dernier album : "Give Me Hope"
FunkSoul

Survivant des jours les plus sombres de Bujumbura au Burundi au début des années 90, apôtre de la soul, du rhythm & blues et du dieu Otis Redding, J.P. Bimeni revient avec un deuxième album, « Give Me Hope » gorgé d'optimisme et d'énergie communicative.

Ce natif du Burundi impressionne par une voix qui rappelle Otis Redding et dans laquelle résonne l'âme de l'Afrique. J.P. Bimeni a cultivé sa musique au contact de la jeune scène soul britannique pour bâtir une soul vibrante qui n'est pas sans évoquer les belles heures des productions Motown et Stax des années 1960.

Ce natif du Burundi impressionne par une voix qui rappelle Otis Redding et dans laquelle résonne l'âme de l'Afrique. J.P. Bimeni a cultivé sa musique au contact de la jeune scène soul britannique pour bâtir une soul vibrante qui n'est pas sans évoquer les belles heures des productions Motown et Stax des années 1960.

C'est sûrement l'une des nouvelles grandes voix de la soul !

De ses chansons d'amour, sur la peur, la perte, l'espoir nous parviennent le sentiment qu'une âme, la sienne, s'exprime véritablement à travers cette voix impressionnante qui imprègne chaque composition de son expérience tragique. Descendant de la famille royale du Burundi, suite à trois tentatives d'assassinat, J.P. Bimeni a quitté son pays à l'âge de 15 ans au moment de la guerre civile de 1993. Arrivé au Pays de Galle, il achète ses premiers disques, des compilations de Ray Charles, Otis Redding, Bob Marley et Marvin Gaye... Commence alors à se dessiner pour lui, un nouveau destin. « La musique est une façon d'oublier » explique-t-il et on comprend alors que pour survivre, il a choisi la voix de la soul musique, celle qui exorcise la souffrance sans renoncer à chercher coûte que coûte la lumière, la chaleur et la beauté. The Black Belts l'accompagnent sur scène avec cette belle énergie qui émane déjà du disque, pour un moment de grandes émotions !

= Ils en parlent =
On avait découvert la soul reluisante de J.P. Bimeni & The Black Belts avec un premier album du nom de Free Me en 2018. Suite à cela, la formation menée par le soulman originaire du Burundi a réussi à se faire une place avec ces compositions lumineuses que l'on retrouve toujours sur leur nouvel album intitulé « Give Me Hope ». On embarque avec la sublime reprise d'Eddie Holman qu'est « Four Walls » où l'interprétation de J.P. Bimeni vise toujours aussi juste tout comme ces arrangements soulful signées The Black Belts volontairement rétro suffisent à nous enivrer. Une fois de plus, le gang nous offre un condensé de lueur d'espoir avec des titres vintage définitivement enivrants tels que « Not In My Name » ou bien encore « Find That Love » et « Ghost City » (Les oreilles curieuses)

Derrière « Give Me Hope », deuxième album de J.P. Bimeni & The Black Belts, il serait tentant de ne voir que l'histoire peu ordinaire d'un chanteur francophone d'Afrique de l'Est réfugié à Londres et s'associant à des musiciens espagnols pour jouer de la soul venue des Etats-Unis. Mais si leur réunion musicale ne passe pas inaperçue en live comme en studio, c'est d'abord parce qu'elle dégage de rares frissons. (B. Lavaine, RFI)

Production : New Morning

Survivant des jours les plus sombres de Bujumbura au Burundi au début des années 90, apôtre de la soul, du rhythm & blues et du dieu Otis Redding, J.P. Bimeni revient avec un deuxième album, « Give Me Hope » gorgé d'optimisme et d'énergie communicative.

Ce natif du Burundi impressionne par une voix qui rappelle Otis Redding et dans laquelle résonne l'âme de l'Afrique. J.P. Bimeni a cultivé sa musique au contact de la jeune scène soul britannique pour bâtir une soul vibrante qui n'est pas sans évoquer les belles heures des productions Motown et Stax des années 1960.

Ce natif du Burundi impressionne par une voix qui rappelle Otis Redding et dans laquelle résonne l'âme de l'Afrique. J.P. Bimeni a cultivé sa musique au contact de la jeune scène soul britannique pour bâtir une soul vibrante qui n'est pas sans évoquer les belles heures des productions Motown et Stax des années 1960.

C'est sûrement l'une des nouvelles grandes voix de la soul !

De ses chansons d'amour, sur la peur, la perte, l'espoir nous parviennent le sentiment qu'une âme, la sienne, s'exprime véritablement à travers cette voix impressionnante qui imprègne chaque composition de son expérience tragique. Descendant de la famille royale du Burundi, suite à trois tentatives d'assassinat, J.P. Bimeni a quitté son pays à l'âge de 15 ans au moment de la guerre civile de 1993. Arrivé au Pays de Galle, il achète ses premiers disques, des compilations de Ray Charles, Otis Redding, Bob Marley et Marvin Gaye... Commence alors à se dessiner pour lui, un nouveau destin. « La musique est une façon d'oublier » explique-t-il et on comprend alors que pour survivre, il a choisi la voix de la soul musique, celle qui exorcise la souffrance sans renoncer à chercher coûte que coûte la lumière, la chaleur et la beauté. The Black Belts l'accompagnent sur scène avec cette belle énergie qui émane déjà du disque, pour un moment de grandes émotions !

= Ils en parlent =
On avait découvert la soul reluisante de J.P. Bimeni & The Black Belts avec un premier album du nom de Free Me en 2018. Suite à cela, la formation menée par le soulman originaire du Burundi a réussi à se faire une place avec ces compositions lumineuses que l'on retrouve toujours sur leur nouvel album intitulé « Give Me Hope ». On embarque avec la sublime reprise d'Eddie Holman qu'est « Four Walls » où l'interprétation de J.P. Bimeni vise toujours aussi juste tout comme ces arrangements soulful signées The Black Belts volontairement rétro suffisent à nous enivrer. Une fois de plus, le gang nous offre un condensé de lueur d'espoir avec des titres vintage définitivement enivrants tels que « Not In My Name » ou bien encore « Find That Love » et « Ghost City » (Les oreilles curieuses)

Derrière « Give Me Hope », deuxième album de J.P. Bimeni & The Black Belts, il serait tentant de ne voir que l'histoire peu ordinaire d'un chanteur francophone d'Afrique de l'Est réfugié à Londres et s'associant à des musiciens espagnols pour jouer de la soul venue des Etats-Unis. Mais si leur réunion musicale ne passe pas inaperçue en live comme en studio, c'est d'abord parce qu'elle dégage de rares frissons. (B. Lavaine, RFI)




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