Jeudi 17/06/2021

Jeu 17 Juin 2021 : Boney Fields

Boney Fields

Guest : Sylvia Howard
BluesFunk

Boney Fields, le chainon manquant entre James Cotton, Lucky Peterson et Trombone Shorty.

« Real music by real musicians » avait coutume de dire Prince. Comme lui, le trompettiste et chanteur originaire de Chicago Boney Fields, appartient à cette génération d'artistes Afro-Américains nés pour dompter la scène. Le funk et le blues, ces deux versants d'une même Great Black Music, Boney Fields les fusionne fidèlement et avec tout le savoir-faire d'une carrière passée à arpenter les scènes du monde entier, avec des partenaires de jeu tels que Lucky Peterson, Luther Allison, James Cotton, Buddy Guy, Liz Mc Comb, mais aussi George Clinton, Maceo Parker, Fred Wesley ou Bootsy Collins.

Loin des paillettes du Show Biz, c'est sur scène que Boney Fields apprend le métier et enrichit son art. Les tournées sont longues, la route pas toujours luxueuse. Peu importe les carences de sommeil ou le nombre de kilomètres parcourus, Boney Fields ne vit que pour la scène.
C'est là qu'il finit par forger son propre style, un métissage rétro futuriste de blues et de funk cuivré. Une esthétique bien à lui qu'il déploie sur disque comme sur scène. Boney Fields & son Band, partout où ils passent, laissent derrière eux comme une trainée de poudre hautement énergétique et jubilatoire.

Showman infatigable, Boney Fields fait voyager sa musique aux quatre coins de la planète et c'est sur ces mêmes scènes qu'il faudra venir le voir jouer sa collection de « vraies chansons » , interprétées, comme disait Prince, « par de vrais musiciens ».

Sylvia Howard est née à Indianapolis, Indiana (États-Unis) et a grandi à Los Angeles, en Californie. Sa carrière musicale débute à Phoenix, en Arizona, et en 1990, elle remporte le trophée du meilleur talent et du meilleur modèle lors du concours "Ms. Black Arizona". Son parcours international débute ... Sylvia se produit de Singapour à l'Indonésie, de Hong Kong à la Thaïlande, en passant par la Malaisie et les Philippines. Après plus de dix ans passés en Asie du Sud-Est, elle débarque à Paris en 2002. Elle rencontre succès et notoriété rapidement grâce à des titres écrits pour le cinéma. Elle figure sur la B.O. de deux films de Cédric Klapisch : « Peut-être » et « Ni pour, ni contre (Bien au contraire) », avec notamment le titre « I wanna go somewhere ».

Sylvia poursuit sa carrière live en Europe dans de nombreux et prestigieux festivals de jazz, de blues, de gospel, en big band, et sa réputation grandit dans le monde ! La rencontre avec Boney Fields s'opère en 2006, lors d'un des concerts du trompettiste au New Morning, où Sylvia est invitée par un ami. Le courant passe immédiatement entre ces 2 artistes américains et Sylvia est régulièrement invitée sur les concerts de Boney, qui a réalisé le dernier album solo de la chanteuse.

C'est donc avec un immense plaisir qu'ils se retrouveront cette fois sur scène au New Morning pour un concert inédit.

= Ils en parlent =
Showman infatigable, Boney Fields fait voyager sa musique aux quatre coins de la planète et c'est durant ces shows qu'il rôde le vibrant répertoire de son 6ème album « Bump City »... Plus « rock » : le nouveau répertoire du virtuose de Chicago reflète l'atmosphère électrique du moment. Pas étonnant de déceler un écho néo-orléanais furieusement cuivré dans cette célébration du swing ... Comme un clin d'oeil à celui qui alluma la flamme du jeune Boney Fields au tournant des années 70 ... Un certain Louis Armstrong.
C'est ainsi que Boney Fields rend un hommage appuyé à son compagnon de route et mentor, le regretté James Cotton, sur le titre « Ying Yang », magnifié par la grâce d'un invité de marque, le chanteur et harmoniciste, Charles Pasi.
Dans « Bump City », le titre phare de l'album, Boney imagine d'ailleurs une ville où l'on ferait la fête et danserait toute la nuit. Quelle belle promesse ! Et comme le laissent entendre « Ain't giving up on you » et « More », l'espoir et la félicité sont les meilleurs remèdes aux embûches et aux revers de l'existence. Qu'il soit entendu ! (Joe Farmer, RFI)

« Cet album est fantastique ! » (Rock & Folk)

« Une belle claque » (Ouest France)

« Un sens du groove omniprésent, un vrai talent d'écriture ... Quelle énergie ! » (Soul Bag)

« Ce nouvel album est une petite perle de rock, de soul et de funk » (Blues Mag)

« Bravo l'artiste pour ce CD que la rédaction de PARIS-MOVE a classé comme indispensable » (Paris Move)

« Chaque titre dégage un groove ensorcelant et puissant. Impossible de résister ! » (Coup de Coeur FNAC du Havre)

« Une tuerie ! » (Christian Casoni, Blues Again, Rock & Folk)

Production : New Morning

Boney Fields, le chainon manquant entre James Cotton, Lucky Peterson et Trombone Shorty.

« Real music by real musicians » avait coutume de dire Prince. Comme lui, le trompettiste et chanteur originaire de Chicago Boney Fields, appartient à cette génération d'artistes Afro-Américains nés pour dompter la scène. Le funk et le blues, ces deux versants d'une même Great Black Music, Boney Fields les fusionne fidèlement et avec tout le savoir-faire d'une carrière passée à arpenter les scènes du monde entier, avec des partenaires de jeu tels que Lucky Peterson, Luther Allison, James Cotton, Buddy Guy, Liz Mc Comb, mais aussi George Clinton, Maceo Parker, Fred Wesley ou Bootsy Collins.

Loin des paillettes du Show Biz, c'est sur scène que Boney Fields apprend le métier et enrichit son art. Les tournées sont longues, la route pas toujours luxueuse. Peu importe les carences de sommeil ou le nombre de kilomètres parcourus, Boney Fields ne vit que pour la scène.
C'est là qu'il finit par forger son propre style, un métissage rétro futuriste de blues et de funk cuivré. Une esthétique bien à lui qu'il déploie sur disque comme sur scène. Boney Fields & son Band, partout où ils passent, laissent derrière eux comme une trainée de poudre hautement énergétique et jubilatoire.

Showman infatigable, Boney Fields fait voyager sa musique aux quatre coins de la planète et c'est sur ces mêmes scènes qu'il faudra venir le voir jouer sa collection de « vraies chansons » , interprétées, comme disait Prince, « par de vrais musiciens ».

Sylvia Howard est née à Indianapolis, Indiana (États-Unis) et a grandi à Los Angeles, en Californie. Sa carrière musicale débute à Phoenix, en Arizona, et en 1990, elle remporte le trophée du meilleur talent et du meilleur modèle lors du concours "Ms. Black Arizona". Son parcours international débute ... Sylvia se produit de Singapour à l'Indonésie, de Hong Kong à la Thaïlande, en passant par la Malaisie et les Philippines. Après plus de dix ans passés en Asie du Sud-Est, elle débarque à Paris en 2002. Elle rencontre succès et notoriété rapidement grâce à des titres écrits pour le cinéma. Elle figure sur la B.O. de deux films de Cédric Klapisch : « Peut-être » et « Ni pour, ni contre (Bien au contraire) », avec notamment le titre « I wanna go somewhere ».

Sylvia poursuit sa carrière live en Europe dans de nombreux et prestigieux festivals de jazz, de blues, de gospel, en big band, et sa réputation grandit dans le monde ! La rencontre avec Boney Fields s'opère en 2006, lors d'un des concerts du trompettiste au New Morning, où Sylvia est invitée par un ami. Le courant passe immédiatement entre ces 2 artistes américains et Sylvia est régulièrement invitée sur les concerts de Boney, qui a réalisé le dernier album solo de la chanteuse.

C'est donc avec un immense plaisir qu'ils se retrouveront cette fois sur scène au New Morning pour un concert inédit.

= Ils en parlent =
Showman infatigable, Boney Fields fait voyager sa musique aux quatre coins de la planète et c'est durant ces shows qu'il rôde le vibrant répertoire de son 6ème album « Bump City »... Plus « rock » : le nouveau répertoire du virtuose de Chicago reflète l'atmosphère électrique du moment. Pas étonnant de déceler un écho néo-orléanais furieusement cuivré dans cette célébration du swing ... Comme un clin d'oeil à celui qui alluma la flamme du jeune Boney Fields au tournant des années 70 ... Un certain Louis Armstrong.
C'est ainsi que Boney Fields rend un hommage appuyé à son compagnon de route et mentor, le regretté James Cotton, sur le titre « Ying Yang », magnifié par la grâce d'un invité de marque, le chanteur et harmoniciste, Charles Pasi.
Dans « Bump City », le titre phare de l'album, Boney imagine d'ailleurs une ville où l'on ferait la fête et danserait toute la nuit. Quelle belle promesse ! Et comme le laissent entendre « Ain't giving up on you » et « More », l'espoir et la félicité sont les meilleurs remèdes aux embûches et aux revers de l'existence. Qu'il soit entendu ! (Joe Farmer, RFI)

« Cet album est fantastique ! » (Rock & Folk)

« Une belle claque » (Ouest France)

« Un sens du groove omniprésent, un vrai talent d'écriture ... Quelle énergie ! » (Soul Bag)

« Ce nouvel album est une petite perle de rock, de soul et de funk » (Blues Mag)

« Bravo l'artiste pour ce CD que la rédaction de PARIS-MOVE a classé comme indispensable » (Paris Move)

« Chaque titre dégage un groove ensorcelant et puissant. Impossible de résister ! » (Coup de Coeur FNAC du Havre)

« Une tuerie ! » (Christian Casoni, Blues Again, Rock & Folk)




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